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et burnout...

Il y a burnout...

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Le nombre de dépressions et de burnout (ou burn-out) a augmenté de plus 45 % en 5 ans, selon les chiffres de l'INAMI.

La part des arrêts maladie dus au burnout est au plus haut en Belgique (2023) et la durée des arrêts augmente, Ce qui rend la réintégration plus difficile.

 

Il n'y a jamais eu autant d'émissions, d'articles de presse, de statistiques et de livres parus sur le burnout qu'actuellement.

Et pourtant, il règne encore énormément de confusion autour de ce sujet.

 

Peut-on être en burnout sans être en dépression ?

Peut-on parler de "maladie" ?

Quel type de suivi faut-il avoir durant l'arrêt maladie ?

Que peut-on faire pour anticiper ce séisme, et comment prévenir une rechute possible une fois de retour dans la vie active ?

Pourquoi l'arrêt de travail dure parfois plusieurs années chez certains, alors que d'autres semblent être sur pied après quelques mois ?

Que peut-on faire (et surtout ne pas faire) en tant que personne proche pour aider au mieux ?

Seul le repos peut-il favoriser la guérison ?

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Le burnout doit être approché de façon entièrement personnalisée. Bien que l'on retrouve beaucoup de symptômes communs chez les "burnies" (irritabilité, isolement, fatigue intense, etc.) , la façon de l'approcher doit impérativement être abordée au cas par cas. Il sera essentiel d'identifier les mécanismes qui ont amené la personne à s'écrouler de façon parfois brutale.

Et même s'il peut exister des profils de personne potentiellement plus vulnérables au burnout (perfectionniste, workaholic, etc) le burnout a pu progressivement se "préparer" dans un contexte bien précis, avec un certain événement déclencheur et pas nécessairement reproductible. 

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Selon l’Organisation Mondiale de la santé (OMS), la dépression et les troubles anxieux (incluant les troubles liés au stress) sont les principaux problèmes de santé à l'échelle mondiale, rivalisant avec les maladies cardiovasculaires. Cela signifie qu'il sera essentiel d'avoir recours à une prise en charge par un professionnel (que ce soit coach ou thérapeute) formé à ce type de situation, avec la visibilité croissante du nombre de personnes exposées au burnout (entre autres).

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Il est impératif de recevoir de l'aide :

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1. Lorsque les premiers signaux d'alarmes se font ressentir afin d'évaluer au mieux où l'on se situe dans le tableau d'épuisement et éviter le point de non-retour.

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2. Pendant le burnout. Certains diront qu'on ne peut être proprement suivi en burnout faute d'énergie suffisante. Je dirais que cela dépendra entièrement du professionnel sollicité, de sa connaissance plus ou moins approfondie en matière de burnout (ou bore-out, brown-out, blur-out) et de la manière avec laquelle il va tenter de remettre le patient "sur les rails".

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3. Avant la reprise afin de s'y préparer de façon optimale et éviter que l'on soit pris dans le rouleau compresseur sociétal

4. Après la reprise afin d'observer le déroulement des événements post-reprise et s'assurer que l'absence de symptômes se maintient dans le temps.

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C'est dans ce sens que j'évalue à la première séance

a) où se situe la personne dans ce processus d'épuisement, pour que l'on puisse

b) déterminer au mieux de quel type de soutien elle aura besoin en priorité. Car un burnout peut durer très longtemps - mais le temps de guérison peut parfois aussi être significativement prolongé faute d'un accompagnement sur-mesure et adéquat pour la personne en souffrance.

 

Pour une prise de rendez-vous voir CONTACT.

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